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"Bite, couille,
trou, poil, foune, clito, sodomie active, passive, pomper la
queue : have a blow job, bitch, suck my nigger dick, and swallow
it all - oh oui Albert ! encore ! plus fort ! Z'y va, fais voir
ton vélo, Patrick Bruel, bubon, bouton dans la chatte
et pustules purulentes, viol collectif de bosniaques enchaînées,
ripailles, orgies et femmes soumises, petites pisseuses prostrées
à genoux sous mes coups quémandant - les pauvrettes
! - ma pitié magnanime de leurs yeux suppliant - ah !
laisse-moi penser au plaisir que je connaîtrai, enfin,
lorsque j'utiliserai ton corps afin de me distraire, enfants
tremblant, déjà, la peur du fouet au ventre, sang,
sexe et rock'n'oï : et non ! vous ne vous trompez pas,
vous êtes bien en train d'assister à le "The
Suce-moi-la-Bite Tour" de l'Indispensable Tristan-Edern
VAQUETTE, Dr ès Sciences, Vicomte de Gribeauval, Prince
du Bon Goût - Musique !"
Voilà, ça commençait comme
ça, et puis, cela se poursuivait par des chansons,
bien sûr, des interludes poétiques aussi ("crever,
pourrir, mourir, souffrir", "salope", "B.H.L.
de passage à Sarajevo"
), et le ballet enivrant
des merveilleux accessoires vaquettiens : la trompette, le
saxophone, le tambour, l'accordéon 3-5 ans, mais aussi
la "carte de flic" de l'IndispensablE, Didina la
poupée gonflable roumaine, et, bien sûr, le paravent
derrière lequel Vaquette se dissimulait (ah ! le "sketch"
du paravent !) pour ressortir en corsage et en jupe, grimé
en Miguelita, prisonnière politique espagnole, chantant
"contre el toro" - prends ça dans la gueule
Franco (de porc - eh oui ! l'humour était potache),
avant que tout cela ne s'achève - enfin ! - en apogée
festif avec "l'IndispensablE encule Basile de Koch"
: "à bas Tristan-Edern VAQUETTE, moi j'préfère
les clodettes" - j'allais le dire.
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