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Ami-camarade
internaute,
réjouis-toi,
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car tu vas découvrir en avant-première
et en feuilleton (1 parution quotidienne depuis le 1er septembre
2003), un roman bientôt culte, assurément inclassable,
quelque part entre Desproges et Guy Debord, Vuillemin et la
littérature, un roman d'action philosophique, d'aventures
hystérico-historiques, audacieux et formel, drôle
aussi, un roman qui "balance", résolument
moderne, trash-intello pour ceux qui veulent vraiment une
étiquette.
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Cela dit, une fois n'est pas
coutume sur ce site, l'IndispensablE va à présent
laisser la parole à sa
merveilleuse éditrice, qui te dit quoi
penser de cet opuscule IncroyablE : |
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Voici l'histoire d'un jeune homme doué pour tout, épris
de liberté, pétri d'ambition et allergique à toutes les
formes d'autorité et de lâcheté humaine, qui entre avec
panache en résistance en 1940. À force de missions impossibles
et de hauts faits incroyables, il en devient bien vite l'un
des combattants les plus glorieux. Pourtant, à la libération,
lorsque reprend la course au pouvoir et aux honneurs, le
héros libertaire et intransigeant devient gênant… Sur ce
simple argument, qui pourrait être celui d'un roman d'aventures
historique (et hystérique) écrit par un San-Antonio d'aujourd'hui
à peine plus déjanté que l'original, l'auteur réussit le
tour de force de contrevenir sciemment et sans faiblesse
à (presque) toutes les règles sacrées de la combinatoire
romanesque. Car notre héros, "je" narrateur de ce roman,
n'est bien sûr autre que l'IndispensablE Tristan-Edern VAQUETTE,
auteur omniscient du livre et personnage contemporain nourri
de ses références et révoltes contemporaines. Entrecoupés
de digressions, ajouts, clins d'œil, les temps et points
de vue se télescopent ainsi sans cesse avec une belle impertinence,
sans que jamais pourtant n'en soient altérés le rythme narratif
et la crédibilité du curieux objet littéraire soumis à l'impatience
du lecteur ! Le concept fourre-tout (et très à la mode)
d'autofiction est ici joyeusement renvoyé à de nouvelles
frontières, déplacé dans une histoire passée mais originelle,
celle de la résistance, dont le choix n'est bien sûr pas
fortuit ! Car nous lisons deux livres en un : une aventure
débridée digne des meilleures séries B et un roman d'action
philosophique d'avant-garde sur l'individu et la liberté,
la compromission à l'ordre moral et l'esprit de résistance,
nourri de références politiques et culturelles d'aujourd'hui.
De la même façon, la langue se fait tour à tour classique
ou rock'n'roll, philosophique ou triviale, ainsi conforme
au travail de son auteur sur scène, qui jongle avec les
sources de la culture classique et les rythmes punk rock.
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Ne
dis rien ami-camarade internaute, Vaquette sait tout. Tu rêves
à présent de soutenir l'IndispensablE dans sa
quête du grand et du beau, et de le voir, une fois encore,
comme toujours, gagner à la fin : Grand Dieu ! comme
tu as raison ! Commence donc par t’extasier devant les
"critiques des premiers lecteurs" en cliquant sur
l’icône ci-dessus, et, pénétré
par tant d’éloges, prends ta plus belle plume,
ou, à défaut, ton plus joli clavier, et collabore,
sans même dénoncer un seul Juif, à ce
florilège de dithyrambes.
Tu peux également participer à la polémique
brûlante qui consume la rentrée littéraire
2003 placée sous les hospices, pardon, une fois n’est
pas coutume, sous les auspices du Grand Mythe Vaquettien en
te rendant sur
le Forum du Diable, mon
merveilleux éditeur, pour y crier ta haine ou ton
indéfectible admiration envers le Prince du Bon Goût.
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Enfin, bien sûr, tu peux te rendre, sans vomir (ta vanne,
elle est nulle Vaquette, en plus, tu nous la ressors à
toutes les sauces…), sur la page VPC
de ce merveilleux site pour te procurer, pour simplement
20 €, la version papier ce roman merveilleux à l’égal.
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Ah ! Un ajout (2005). Pour revivre
la FrénétiquE, MerveilleusE et TriomphalE carrière
du premier roman de l'IndispensablE, une seule adresse, l’Épopée
de l'IndispensablE narrée en Encycliques, et en particulier
les Bulles 10
(Revue de presse, première partie), 11
(Prix de Flore), 13
(Revue de presse, deuxième partie), et 14
(Prix Goya).
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