Dr ès Sciences, Vicomte de Gribeauval, Prince du Bon Goût (et aussi Mister Trash, le pape du hardly-listening, le punk rouge - car Vaquette n’aime pas le noir - ou encore monsieur Hard-core, appelez-le comme vous voulez), c’est, en dix mots, le

« premier de la classe qui se fait virer de partout ».

Bien, cela, nous l'avons déjà abordé au niveau "Caissière à Leclerc", aussi, pénétrons plus profond le monde merveilleux de l'IndispensablE, et, cette dichotomie apparente entendue, penchons-nous à présent sur la richesse des formes qu'il a su aborder depuis sa naissance (1969), jusqu'à son enterrement triomphal au Panthéon (2056), en passant par la Lorraine avec ses sabots (2032).
           
 

Vaquette, c'est ensuite des spectacles. A ce jour, trois. "The Suce-moi-la-Bite Tour" d'abord, spectacle "rigolo-subversivo-provo-punk" autour de ses chansons, qui connaîtra une multitude de versions depuis les premiers concerts de 1988 avec différents groupes de rock alternatif (amateurs), jusqu'à l'ultime "one man show" avec un piano, une guitare, quelques jouets et, déjà, des interludes et autres digressions, et qui s'achèvera en 1996 en apogée festif sur la scène du Stade de France (ou du "Trou Gaulois", je ne sais pas, je ne sais plus).
 


Enfin, lors du "Back dans les bars - Paris décembre 2000", impatient de remonter sur scène, de tirer les gonzesses et de gagner du poignon tel le premier rappeur venu, il s'offre une récréation, que nous qualifierons aussi d'éclairage : "Un siècle et demi de chanson française hard-core", spectacle de reprise, donc, pourtant infiniment plus loin des Roses blanches ou de Ne me quitte pas, que des Bérus, de Costes, de Ferré ou de Svinkels.

 




Vaquette encore, c'est le créateur et le coordinateur de "Un Printemps Bizarre", rassemblement national de tout ce qui d'une façon ou d'une autre conteste une norme, qu'elle soit artistique, politique ou sociale.
 






Mais Vaquette, c'est plus encore que cela, c'est un roman, un CD live, un autre IndispensablE, un DVD qui ne l'est pas moins, des T-shirts, le texte de "J'veux être Grand et Beau", des affiches, et probablement quelques autres merveilles drolatiques, utiles et vaquettiennes en plus que d'être vraiment pas chères, touche la qualité, et que tu vas conséquemment - oui ! car il n'y a pas de méchant système, il n'y a qu'une somme d'individuelles lâchetés - à l'instant te procurer avec diligence et largesse financière, car à quoi peut bien servir ton R.M.I., ami-camarade indigent, si ce n'est à soutenir l'IndispensablE dans sa quête d'indépendance face au grand capital de l'entertainment mondialiste ?













Vaquette, c'est avant tout (j'entends dans le temps, dès 1987), des chansons, le plus souvent drolatiques et engagées, dans la lignée directe de Perret ou des Ludwig von 88, parfois plus noires, et pourtant, mais tu le sais déjà puisque tu es rendu là (sans vomir ?), il n'aime pas le noir.
 


Ensuite, et surtout bien sûr, "J'veux être Grand et Beau". Hardiment novateur, formellement ambitieux, délibérément audacieux (malgré toujours quelques interludes drolatiques et chantés), poursuivant sa quête d'universelle détestation, brûlant, avec Léon Bloy, "de dire, enfin, un peu de vérité profonde au milieu de tant de mensonges littéraires et de dramatiques rengaines", prônant, seul, le Courage, quand chacun maquille en contraintes ses incessantes lâchetés, l'IndispensablE revient sur scène en 1995 (jusqu'à la dernière en avril 1999 à la Comédie de Paris, en passant par le Festival d'Avignon 1998) avec ce cours de philosophie "trash-intello" - pour ceux qui veulent vraiment une étiquette.



Récréation disais-je, car entre les deux derniers étés du vingtième siècle (c'est un signe, ou bien alors un effet de style attendu et relou digne d'un pigiste à Libération), l'IndispensablE a écrit son premier roman : "Je gagne toujours à la fin". Roman d'aventure, roman politique, roman sur Vaquette, la fidélité, le jeu, le courage, la liberté, et puis aussi, roman très formel, disons littéraire, surtout pas académique, mais étonnant, inventif, audacieux, moderne aussi, rock'n'roll si vous vous voulez, bien loin du pur néant qu'est la littérature contemporaine française, figée, conformiste, prétentieuse mais sans aucune ambition, déconnectée de son temps, de toute réalité sociale, vieille, vieille encore, vieille surtout. Après quelques retouches, ce roman sort - enfin ! - avant le premier Noël du vingt-et-unième siècle (là, c'est un signe, assurément), en exclusivité sur ce site, et en intégral (déjà, ou bientôt) au niveau "Vaquette ".
 




   
Vaquette toujours, ce sont plus de cent chroniques radios, billets de l'actualité ignoble et de bon goût ("une minute de haine dans un monde de brute") diffusées entre 1995 et 1999 sur (entre autre) Radio Libertaire, et que Vaquette ne s'interdit pas de compléter à nouveau, à l'occasion de quelque événement qui inspirera son absolue et pourtant drolatique dégoûtation.

Vaquette encore et toujours, c'est tout ce que tu ignores, et lui aussi, et qu'il va mettre dans cette boite "surprises" qui restera peut-être à jamais vide, mais bon, mon maître de la toile part bientôt en vacances en Turquie, et il vaut mieux tenir que courir, et prévenir que guérir, et ce qui est dit est dit, et puis c'est tout.



Vaquette enfin - oui ! réjouis-toi, tout cela est bientôt fini - c'est ce fort beau site qui possède bien sûr toutes les fonctionnalités que tous les autres sites possèdent (mais eux ne possèdent souvent que cela) et que tu attends légitimement d'un tel outil moderne et dynamique : envoyer un mail à Vaquette (Épître en tête de page), t'inscrire à sa liste de diffusion pour recevoir régulièrement des nouvelles de l'IndispensablE (Encyclique, également en tête de page), quelques liens aussi (à terme...), et même la possibilité de retourner directement à la page d'accueil de ce site en tapant toi-même www.vaquette.org dans la barre d'adresse de ton navigateur, ou d'accéder au niveau "Vaquette" en cliquant sur le bourreau rouge ci-dessous.
   
 Mégalomane ou simplement ambitieux ?