Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,
Plein de nouvelles, plein, en pagaille. Vous me direz, c’est la moindre des choses pour une news letter, et je ne vous répondrai rien car l’IndispensablE ne s’adresse pas à la plèbe orchidoclaste, enfin si, mais de façon exclusivement unilatérale.
"J’veux être Grand et Beau" triomphe à la Miroiterie, le mot n’est pas trop fort et ce n’est que justice me direz-vous (ou sortez), Vaquette d’ailleurs vous avait prévenu : sois présent, ou pleure. Il ne vous reste donc que deux dates pour épargner les larmes à votre visage buriné par la peine.
Trois remarques. D’abord, la réservation est de ce fait de plus en plus vivement conseillée, mais vous faites bien ce que vous voulez, personnellement, moi, j’arriverai toujours à entrer, je connais le type qui est à la caisse. Ensuite, jeudi, ce soir, venez particulièrement à l’heure, pour cause de Paris Dernière qui vient filmer les rappels, et puis, faites-vous beau, vous allez passer à la télé et votre vieille maman sera fière de vous. Enfin, vendredi, le GénéreuX Tristoc, adorateur compulsif du grand mythe vaquettien, a prévu un petit frichti histoire d’arroser dignement la dernière – Ouf ! C’est vraiment ta dernière Vaquette ? Enfin !
Ensuite, l’IndispensablE et "J’veux être et Beau" partent de concert (pur jeu de mot Maître Capello, non ?) à Toulouse. C’est un événement rarissime et donc IncontournablE, un peu comme quand les Fabulous Trobadors se produisent à Paris, d’ailleurs, les deux événements sont concomitants, ou presque, et probablement faut-il y voir là un signe du destin. Je ne sais pas vous, mais moi, je serais vous, amis-camarades toulousains, je ne raterais ça sous aucun prétexte.
Quant à la suite du mois de novembre chargé de ton IdolE, oh toi enfant ! il se trouvera dans la prochaine encyclique : salon du livre anarchiste de Paris, salon du premier roman de Draveil, performance au Pulp – si, si, j’en sors pour préparer cela – salon du livre de Colmar, "J’veux être Grand et Beau" au Poussin vert, ainsi que quelques autres surprises : patience.
Sinon, vous trouverez également sur la présente encyclique une revue de presse illustrée par une seyante photo de Mylène Farmer – mais pourquoi Mylène Farmer ? Lisez, vous comprendrez.
Ajoutons, pour que cette revue de presse soit complète, une remarquable interview dans le prochain Nova et un portrait passablement conséquent dans le numéro de l’Humanité de ce vendredi – achetez-le, vous aurez l’air de vrais communistes tout en adorant Vaquette, si ça ce n’est pas de la dialectique révolutionnaire.
Que dire en outre ? Tout plein de choses encore.
Que "Je gagne toujours à la fin" (premier roman du Prince du Bon Goût, je dis ça pour ceux qui arrivent ce matin de trois mois passés à Oulan-Bator ou à Riga) est toujours en vente dans les bonnes librairies, et que vous pouvez voler le Beigbeder dans les autres. Que les chiffres de vente sont bons, en tout cas très largement supérieurs aux chiffres moyens d’un premier roman français (vous me direz, c’est facile).
Que le TalentueuX Philippe Matsas, photographe pour l’agence Opale, a photographié l’IndispensablE au Lèche-Vin (Ah ! le gros doigt de Vaquette devant la Castafiore qui suce Tintin !) et que le résultat est particulièrement remarquable. Promis, je vous livre des photos prochainement, enfin, quand les paparazzis punks avides de la vie privée des modèles de Nato (laissez, je me comprends) m’en laisseront le loisir.
Que Vaquette compte toujours sur vous pour lui filer tout plein de plans pour tourner partout en France et même au-delà, n’importe quand, n’importe où : le Grand Mythe Vaquettien est en marche, et nul ni rien ne pourra l’arrêter, devrait-il marcher sur l’eau comme son illustre prédécesseur lui aussi messie.
Que la parution en feuilleton de "Je gagne toujours à la fin" sur ce site dès le niveau Hagiographe se poursuit et va bientôt s’achever, et que conséquemment le Niveau Vaquette ne présentera alors plus aucun attrait. Patience (beaucoup svp…), l’IndispensablE constitue un stock d’inédits et de surprises (ah ! la vidéo "Vaquette change de look" vaudra à elle seule le détour, mieux, le voyage). Il uploadera tout cela au Niveau Vaquette un jour, ou peut-être une nuit. En attendant, la MerveilleusE Gaëlle a pour lubie de vous faire le tant attendu karaoké "Gros con", il est imaginable qu’elle vous l’offre avant la Noël.
Que l’IndispensablE n’aura pas le prix de Flore, qu’il n’est pas même dans la sélection, et que conséquemment, il devra continuer à acheter sa coke avec ses propres sous. Mais rassurez-vous, pour la réputation des prix littéraires français j’entends, c’est un mauvais pseudo-provo qui ne vaut pas Vaquette qui l’aura, avis aux amateurs d’histoires de boîtes de nuit, de coucheries sordides et de drogues hypes (si d’aventure il y a en a égarés sur cette Encyclique).
Que, enfin, la rédactrice en chef de "Ça se discute" vient de passer deux heures cet après-midi (je jure que c’est vrai) à tenter de décider l’IndispensablE de passer dans sa belle émission (thème : les excentriques…), et que, non, justement, ça, ça ne se discute pas, c’est non, définitivement : alors, il n’est pas AdmirablE votre héros ? Et puis, ayant dit cela en toute outrecuidance, l’IndispensablE fondit en larmes : "Ouin ! je vais pas passer à la télé ! je serai jamais connu ! je vais finir raté, vieux, pauvre et seul !" – Vaquette, c’est ton choix.
Voilà, ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, tout est dit,
À bientôt pour de nouvelles aventures,
Crevez tous (prochain spectacle, courant 2004, j’espère),
L’IndispensablE
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