Encyclique
aux Fidèles du Grand Mythe Vaquettien


Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,

Tu es IncroyablE, sais-tu ? À peine ai-je évoqué dans ma précédente Encyclique quelques chicanes avec mes navrants et récents collègues "écrivains" (pardon pour les guillemets relous, mais c’est un mot avec lequel j’ai du mal, terriblement, ou alors pour rire), et aussitôt je reçois une vingtaine de mails pour m’en réclamer le conte : z’y va, narre-la nous ton embrouille, tu les as maravés les fonbous ?
Bon, les voici donc les histoires, deux, mais je vous préviens d’avance, cela va vous décevoir, pas de Rangeo dans leurs gueules, pas de coups de boule, pas même de coups de genou et conséquemment personne qui ne gémit à terre, simplement deux histoires de susceptibilité fort mal placée, de fatuité, de vanité surtout.
La première histoire, la voici. Alors que j’étais invité sur Radio Nova, le chroniqueur chargé de faire mon portrait, Louis Lanher pour le citer, s’est lancé dans un long monologue finalement destiné à ne parler que de lui, avec pour seul credo : "Vaquette, c’est vachement bien, la preuve, il est dans la même maison d’édition que MOI et Nicolas Rey (Louis qui ? Nicolas qui ? Ami-camarade lecteur, une rapide visite de cette page devrait t’apporter quelques éléments de réponse distrayants), conséquemment il est talentueux, et surtout hype et tendance". Pour un peu, après un tel portrait, on m’imaginait le pif dans la schnouff pilier du café de Flore, fréquentant assidûment le monde merveilleux de la nuit parisienne, pote avec Beigbeder et Ardisson, couchant tour à tour avec des vieilles riches et des mannequins pauvres, racontant ma vie demi-mondaine dans des romans de 150 pages en gros caractères avec 500 mots de vocabulaire et un style à faire pâlir Lolita Pille, et pourquoi pas pigiste à Voici ou au Figaro ?
Que vouliez-vous alors qu’il fasse (qu’il fist ?), l'IndispensablE ? Sérieusement ? En grand, pardon, en ImmensE professionnel qu’il est, il ne pouvait sourire béatement à un aussi apocryphe portrait au risque de passer auprès de ses lecteurs potentiels pour un petit con naze branchouille et cocaïné, et auprès des autres, il est vrai plus nombreux, pour un djeun’ cool branché et cocaïné à l’égal. Il m’a semblé alors judicieux de signifier avec l’élégance, la mesure, l’esprit et le Bon Goût qui définissent le Prince du même nom que non, ami-camarade collègue, nous ne sommes pas du même monde, et je ne désire rien de moins qu’on nous confonde. Le brave homme (je dis brave, mais vénère comme il l’était, il eût été moins lâche, il m’eût frappé, enfin, il eût essayé du moins), piqué au vif par mes saillies drolatiques, est sorti du studio rouge de rage en claquant la porte avant de se précipiter sur son téléphone portable pour se plaindre à notre commune éditrice (c’est à cela qu’on reconnaît immanquablement sa grandeur d’âme) : Maman ! on est dans la même maison d’édition avec Vaquette, je croyais qu’on était tous copains ! Ouin !
Passons.
La deuxième histoire est vulgaire à l’égal et conséquemment aussi peu digne d’intérêt – je vous avais prévenus, fallait pas insister. Lors du Salon du premier roman de Draveil, l'IndispensablE a participé à un débat sur le thème, je cite : "Les formes nouvelles du roman français contemporain", durant lequel il a cru bon de demander à ses collègues si ils s’étaient interrogés sur "l’exigence de modernité" avant d’écrire leurs livres, c'est-à-dire tout simplement si leurs ouvrages auraient pu voir le jour il y a vingt ans exactement sous la même forme (premier tollé !), avant de faire le constat que la littérature en France, à l’instar du théâtre, de la peinture ou de la musique "contemporaine" (rires !), sont devenus des arts (?) à destination quasi-exclusive d’une bourgeoisie culturelle qui ne les consomme que pour se persuader qu’elle vaut mieux que les jeunes d’aujourd’hui "qui ne savent plus lire et qui ne connaissent de la musique que le rythme tribal du hip-hop", des arts si cacochymes qu’il serait bon de songer à les enterrer avant qu’ils ne faisandent (second tollé ! encore plus fort que ça). De toute façon, le mal est plus profond : ces gens sont vieux (à commencer par les plus jeunes), réactionnaires et bourgeois au-delà de tout et, si d’aventure j’avais désiré un traître instant pénétrer profond leur coterie, ils m’en eurent fermé violemment la porte - un type avec un perfecto rouge et une coupe de cheveu bizarre, ce n’est pas ça, un écrivain !
Allez ! tout cela n’est désespérément pas nouveau pour moi. Je méprisais déjà mes collègues comédiens qui veulent le prestige de Molière sans prendre un instant le risque d’être excommuniés (T’es injuste Vaquette ! Moi, je prends des risques, j’ai même signé une pétition contre le FN à Vitrolles !) et qui, s’ils me voyaient sur une échelle, la boîte à outil à la main en train de me livrer seul à de savants bricolages pour installer mes éclairages ou mon décor au fin fond d’un rade punk ou d’un squat pas chauffé, s’écriraient : "Moi, je n’accepte pas de travailler dans de telles conditions ! Ce n’est pas professionnel !" Ah ! le joli mot, "professionnel", les "écrivains" d’ailleurs eux aussi ont un artifice sémantique qui sert à camoufler leur Imposture : "c’est bien écrit", un "bien écrit" qui signifie qu’un texte n’est pas entaché de fautes de français ou d’orthographe, qui signifie surtout qu’il est académique pour ne pas dire scolaire, et cela suffit à leurs conforts, après tout, ils font le même métier que Flaubert, Balzac, Sade ou Léon Bloy, non ?

Voilà, ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, tout est dit (à deux post-scriptum près),

À bientôt pour de nouvelles aventures,

Crevez tous, surtout mes navrants collègues, définitivement, avant qu’on ne vous tonde à la libération prochaine,

L’IndispensablE

PS : Mes excuses réitérées à tous ceux et toutes celles qui m’ont écrit et à qui je n’ai toujours pas répondu. J’en suis à ce jour à 474 mails en attente de réponse sans oublier trois interviews qui gémissent d’ennui depuis bien trop longtemps dans la corbeille "à faire". Dieu me pardonne, je m’y attelle la semaine prochaine, je n’ajoute pas "promis" car je crains d’être de nouveau parjure.
PPS : Deux ultimes remarques passablement importantes et qui sembleront des évidences à chacun d’entre vous tant vous êtes MerveilleuX. Nombreux sont ceux qui, durant son passage à la Miroiterie, sont venus filmer le spectacle de l’IndispensablE. Je rappelle à ceux-là que l’utilisation publique, web compris, de telles images serait malséante, et qu’en revanche il serait élégant de faire parvenir à Vaquette (et M. et Mme Poignon), une copie intégrale des susdites images. Je vous en remercie par avance.



C’est Noël

TOP PROMO sur la VPC jusqu’au 31/12/03

Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, que serait cette Encyclique si elle n’était justement aussi une news letter, c'est-à-dire un objet précieux et utile te livrant des nouvelles de saison, à la fois instructif tout autant qu’il est distrayant ? Ainsi, Vaquette, à jamais IndispensablE, t’apprend-t-il par la présente que Noël approche à grand pas suivi bientôt par le nouvel an, et qu’à ces deux occasions il te faudra bien offrir un florilège affriolant de présents de grand prix sous peine de passer pour un être pingre et vil aussitôt rejeté par tous, achevant ton existence seul, croupissant abandonné sur un immonde grabat empli des billets de banque que tu n’auras pas su dépenser tandis que quelques enfants défavorisés te jetteront des pierres tant la pauvreté, l’oisiveté et l’envie mènent de concert au vice délétère et pourquoi pas au crime ?
Seulement voilà, quoi acheter pour emplir de joie le cœur de tes navrants contemporains ? Le dernier livre d’Amélie Nothomb ? Beaucoup plus court que celui de l'IndispensablE. Le dernier album de M ? Beaucoup moins rouge que celui de l'IndispensablE. Le dernier t-shirt de NTM ? Beaucoup plus convenu que celui de l'IndispensablE. Bref, tu l’auras compris, rien n’égale en éclat les merveilleux objets de culte du Grand Mythe Vaquettien que tu peux te procurer sur la page VPC de ce seyant site et qui réjouiront chacun depuis ta vieille tante sourde à qui tu offriras la cassette "Prince du Bon Goût" (6 €) ou le CD "Un siècle et demi de chanson française hard-core" (10 €), jusqu’à ta nièce de 2 ans qui ne sait pas encore lire et qui ne pourra qu’apprendre avec succès en feuilletant "Je gagne toujours à la fin" (20 €) ou "J’veux être Grand et Beau : le texte intégral" (8 €) en passant par ta sœur caissière à Leclerc qui dissimuleras aisément les t-shirts de l'IndispensablE (4 t-shirts au choix - dont le tout nouveau "Je gagne toujours à la fin", IndispensablE, non ? tous quatre en taille Fille, M ou XL, 12 € chaque) sous sa veste Casino.
Mais le Prince du Bon Goût va plus loin encore, et, tirant lui-même les conséquences festives de cet événement calendaire, il va à ton tour te couvrir de cadeaux. Oui ! écoute bien ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien, pour toute commande reçue avant le 31 décembre 2003, l'IndispensablE s’engage :
1) À t’offrir les frais de port pour tout commande de plus de 12 €.
2) À poster ladite commande au plus tard le lendemain de la réception de celle-ci.
3) À te dédicacer sur simple demande son fort beau roman.
4) À ajouter quelques merveilles collector d’époque qui pourrissent lentement au fond d’un carton "souvenir" (au hasard et/ou au choix en fonction du montant de la commande : flyers IncontournablEs et drolatiques, cartes postales, stickers, journaux "Un printemps bizarre", dossiers de presse, cassettes vidéos, CDs single "War in the Gulf : the song"…) pour que toi aussi, un jour, tu puisses dire que "tu suivais l’affaire depuis le début".
5) À t’offrir, pour 5 romans achetés, 2 CDs "Un siècle et demi de chanson française hard-core". Plus fort encore, pour 10 romans achetés, à t’offrir 6 CDs.
6) A te remercier chaleureusement, mieux, à te féliciter vivement car en privant ainsi de quelques subsides immérités Amélie Nothomb, M ou NTM mais aussi la Fnac, Virgin ou Amazon qui s’en passeront fort bien, tu aides concrètement l'IndispensablE dans sa quête du Grand et du Beau.
Allez va ! Assez de temps perdu, il est temps d’agir. Prends donc à l’instant ton chéquier (chèque exclusivement à l’ordre de Du Poignon Productions) et poste sans tarder ta commande à Du Poignon Productions, Le Bois de Saint-Jean, 03170 Saint-Angel (en n’oubliant pas de préciser pour les t-shirts, le modèle et la taille, et pour le ou les romans si tu désires une dédicace, et si oui, à quel nom).

Je gagne toujours à la fin

La revue de presse : le retour

Poursuivons donc la revue de presse entamée lors de l’Encyclique aux fidèles du Grand Mythe Vaquettien, Bulle N° 10 et illustrée par une seyante photo de Mylène Farmer.
Un portrait d’une demi page dans l’Humanité titré "Une vie et un bouquin menés à la Vaquette" : "Après "J’veux être Grand et Beau", manifeste intransigeant façon Nietzsche à la sauce Bérus, Tristan-Edern ne peut faire dans l’imposture, la demi-mesure. "J’veux être Balzac !" assène ce fan de San-Antonio. Alors, il est allé démarcher les éditeurs (Quand on a titré son bouquin "Je gagne toujours à la fin", ce n’est pas une poignée d’adeptes du lancer à trois points de manuscrit dans la poubelle qui va vous décourager), donnant des cheveux blancs aux avocats enclins à sortir les ciseaux. "Je ne changerai pas une ligne, clame-t-il. Et puis, le "système" devrait savoir qu’il a tout intérêt à nous laisser faire ce qu’on veut puisqu’il nous récupèrera. Après tout, tout est jeu". Qui plus est avec ce "je" dressé comme un majeur irrévérencieux."
Une autre demi page sous le signe d’un gros doigt, une interview dans Nova Mag (novembre 2003) titrée "Vaquette vaincra". "Peut-on faire un best seller avec de la critique radicale ?" – "Tout dépend de ce qu’on entend par "radical". La vraie contestation radicale ici et aujourd’hui, c’est d’être islamiste inculte, ascète, fanatique, ultra violent et de poser des bombes dans le métro. Écrire un livre - aussi "hard-core" et sincèrement contestataire puisse-t-il être - est un acte plus social qu’antisocial, je veux dire, un acte qui reconnaît comme légitimes les moyens d’expressions que la société considère comme tolérables." Oui, je sais, même en interview, je suis MerveilleuX.
Nova toujours, mais la radio cette fois. L'IndispensablE a été invité sur "Les 20mn les plus chères de la bande FM" pour y être interviewé par Jacques Chancel (Faut-il être habité par la foi pour faire ce que vous faites ?), Delarue (Vous êtes toujours habillé comme ça ?), Ardisson (Vous êtes toujours coiffé comme ça ?), Jamel Debbouze (Il paraît que tu manges des enfants ?), Henri Chapier (À qui peut plaire un garçon comme vous ?)… j’en passe et des pires (Je précise tout de même par souci d’honnêteté que je garde un excellent souvenir de cette émission et je crois que les animateurs aussi – eh oui ! Vaquette n’est pas toujours désagréable, la preuve en est désormais faite à vos yeux subjugués par tant de surnaturelle magie. De toute façon, une émission dont les invités sont dans la même semaine ou tout comme les Bérurier Noir, Jean-Pierre Mocky ou Vaquette devrait inspirer un minimum de respect).
De Radio Nova à Paris Dernière, il n’y a qu’un pas, Vaquette l’a franchi pour y insulter en direct le présentateur Frédéric Taddéï. Je dis en direct, parce que lors de la diffusion en différé, il n’en restait finalement pas grand-chose si ce n’est pratiquement l’impression que nous étions copains-copains, que les "je vous encule, toi et les médias branchouilles" du Prince du Bon Goût s’étaient miraculeusement transformés en "finalement, je vous aime bien" – c’est un beau métier monteur, non ? - allez va ! ça m’apprendra à cracher dans la soupe.
Pour achever ce tour des médias tendance puisque Vaquette au final aura eu les honneurs (déshonneurs ?) de tous, le Technikart de décembre 2003 parle à deux reprises de l’IncontournablE. D’abord pour raconter le putsch de Taddéï (toujours lui) en faveur de Vaquette au prix de Flore, histoire qui est en tous points identique à celle qu’il vous narre dans son Encyclique aux fidèles du Grand Mythe Vaquettien, Bulle N°11 (je dis ça pour les quelques cauteleux qui ont pensé très fort à cette lecture : "Vaquette se la pète, les plus belles histoires inventées sont des histoires vraies - ou l'inverse"), avec tout de même une précision passablement intéressante, la phrase de Beigbeder pour justifier son choix : "Le style prime sur la nouveauté. Le prix de Flore n’est pas le prix le plus moderne mais un hommage à l’écriture" (no comment : je ne vous ferai pas l’affront de vous faire une explication de texte acerbe – les imbéciles diront envieuse et aigrie), phrase à laquelle répond d’ailleurs en écho une autre, du même Beigbeder, à l’instant de la remise du prix (diffusée sur Paris Dernière, le monde est définitivement petit) tout aussi drolatique (je dis drolatique puisque manifestement elle a fait rire, pas même jaune, tous les convives présents) : "Nous avions le choix entre la déontologie ou pas. Nous n’avons pas choisi la déontologie" - rires ! (donc).
Et puis, toujours dans le même Technikart, une critique de Jacques Braunstein (jury du prix de Flore, prix de Flore donné je le rappelle à Pierre Mérot, Pierre Mérot qui écrit également dans Technikart – quand je vous disais que le monde était petit, c’est plutôt leur monde qui est minuscule). On y apprend d’abord que Costes m’a fait un procès, ce que j’ignorais absolument et je crains que lui aussi - passons. La suite est jésuitique à souhait, entre son désir de ne pas se mettre à dos la moitié des rédacteurs de son merveilleux journal qui me détestent (si, si, c’est même écrit dans l’article - définitivement jésuitique, je vous dis), et l’impossibilité dans laquelle il est de m’ignorer tout à fait (Nova en a parlé avant nous !) ou de me cracher à la gueule (imagine que Vaquette devienne connu, je vais passer pour un con), il se livre à un joli numéro d’équilibriste passablement distrayant, jugez-en plutôt : "C’est prétentieux, bordélique, mal branlé. Et brillant, bien écrit, drôle. Vaquette y mélange un récit qu’on trouve du plus mauvais goût à des digressions sur le monde contemporain tordantes. Avec tout ça, on ne parvient pas à décider si le type mérite un poubelloscope (qui le ravirait sans doute) ou une chronique élogieuse (qui nous vaudrait une volée de bois vert). On va simplement vous laisser juger sur pièce."
Et puis, après tant de parisianisme, faisons un tour pour finir en province - je sais, il faut dire en régions. À Toulouse pour commencer, avec un excellent article de Jean Zeid dans Intramuros : "Il existe des énergumènes aussi brillants que tranchants, aussi tordus que tordants, alliant un culot de résistant à un mauvais goût de provocant ultime. Dans ce hit-parade de l’extrême, Tristan-Edern Vaquette a atteint depuis longtemps l’Himalaya de la posture terminale : seul contre tous et même contre soi-même car on n’est jamais trop méfiant (…)Entre trash attitude et fuck altitude."
Et pour finir, à l’occasion de son passage à Colmar, une très longue interview de l'IndispensablE dans les "Dernières nouvelles d’Alsace" sur le mode "Ceux qu'il adore, ceux qu'il abhorre" (Orchidoclaste ou iconoclaste ? Guy Debord ou Guy Bedos ? Le professeur Choron ou Doc Gyneco ? "Le banquier anarchiste" de Fernando Pessoa ou "Épître à nos nouveaux maîtres" d'Alain Minc ? Jean-Louis Costes ou les compilations Costes ? Harlem Désir ou la pornostar Nadine Bronx ?...) titrée "Bile en tête" et précédée d’un portrait : "Né "très énervé" en 1969, "l'Indispensable" Tristan-Edern Vaquette n'a eu de cesse de cracher sa bile depuis 17 ans qu'il écume bars et théâtres. (…) Tout de cuir rouge vêtu, les cheveux aussi hérissés que le propos est hérissant pour les bien-pensants, Vaquette n'est pas passé inaperçu, samedi, sur le stand FNAC au salon du livre." C’est le moins qu’on puisse dire…
Ouf ! Allez, suffit pour cette fois. Rendez-vous tout bientôt pour la suite des aventures trépidantes et médiatiques du Prince du Bon Goût.




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