Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,
Comme toujours, les informations factuelles qui motivent l’envoi de cette Bulle se trouvent colonne de droite, en particulier la mise en pré-vente – en quantité limitée : oui, oui, ça s’appelle un collector ! – du masque Covid de bon goût Crevez tous ! "Achète, achète, dans deux semaines on m'radie des Assdècs" (Hein, mon zincou !)
J’en profite pour poursuivre, colonne de gauche comme toujours, le work in progress – nous en sommes rendu à l’avant-dernière étape, vous pouvez commencer à sortir les coupes pour le champagne – de l’écriture de mon (in)terminable roman.
Le 30 décembre dernier, j’ai posé le point final du onzième et dernier chapitre de la partie II (la partie principale, de loin l’essentiel du roman – mais vous savez tout ça, j’imagine, depuis le temps). Le 31 décembre, à 23h48 (vous pouvez vérifier sur Twitter, c’est scrupuleusement exact), ledit chapitre était relu intégralement : j’ai tenu ma deadline, celle que j’évoquais sans trop y croire vraiment dans la précédente Encyclique (j’ai bossé comme un chien mais c’était important pour moi de ne pas tourner une page de plus de l’éphéméride) et, si on réduit le roman à cette partie II (ce qui est un mensonge véniel loin d’être aberrant), je l’aurai écrit, pile poil, en une décennie, le projet ayant été lancé en février 2010 sur un chemin de randonnée des Combrailles, pas loin de là où Alice a grandi.
Une décennie, donc, celle dont on peut dire qu’elle a été marquée par le triomphe des réseaux sociaux : la dictature de formes exagérément brèves, de fonds remarquablement superficiels et de l’exigence impérieuse d’occuper le terrain en permanence au risque d’être oublié du jour au lendemain si on s’abstient de poser son petit caca sur la toile plusieurs fois par jour.
Dans ces conditions, écrire un roman plus long que Guerre et Paix, d’une profondeur insondable (attendez les tomes III et IV pour juger : je suis certain que vous serez bluffés) et, peut-être avant tout, en disparaissant, pour ce faire, presque totalement des radars pendant dix ans, bref, avoir à ce point ignoré – et même, plus ou moins inconsciemment, refusé – les règles du jeu de cette tyrannie de notre temps, c’était rebelle sans doute, un genre de refus profond du système tel qu’il fonctionne, mais c’était surtout suicidaire. Et ainsi – peut-être, je le répète, de façon inconsciente – , j’ai achevé avec ce roman mon suicide social – mais (et c’est là l’essentiel, je vous l’accorde) – je ne pouvais pas rêver d’une plus belle fin (Nous reparlerons de tout ça d’ici quelques temps – que d’aucune se rassure (ou s’inquiète, c’est selon) –, après la parution de tous les tomes.)
Mais revenons au chapitre 11, le dernier de la partie principale, on a dit. Il s’appelle "Changez tout !" et porte parfaitement bien son titre. Plus de deux fois plus court que les derniers chapitres, beaucoup plus narratif (beaucoup moins "essai") : retour au romanesque, le coup de théâtre de la fin nous livrant même le nom du coupable – ou pas…
Shéhérazade s’essaye au hip-hop, on parle du pire des clients (le bruit et l’odeur…), de la notion de travail et de celle d’argent, de la sécurité qui précède la liberté (Lawrence règle son compte au Vaquette de J’veux être Grand et Beau : c’est une mise au clair que je tenais à faire depuis très longtemps), de plans cul exhib et de clients pédophiles, des enfants des rues et de la prostitution des étrangères, des pédés, des youpins, de Léo Ferré, de Grisélidis Réal, et, à la frontière de l'anarchie, du bon goût et de la science fiction, Super-Alice termine sa monographie en beauté avec un pied de nez drolatique tellement plus optimiste et léger que tout ce qui précède (quelle élégance !) : elle est nommée ministre de la Culture et du droit des putes, Tony Gatlif, ministre de l’Intérieur et du droit des rabouins, et les putophobes sont raflés direction le Vél d’Hiv (ou un Eros Center de Hambourg) avec une étoile caca d’oie marquée "Abolo" cousue sur la poitrine – le triangle noir gagne toujours à la fin !
De même que ma, comment dire ?…, carrière, ce roman méritait lui aussi – la boucle est bouclée – une belle fin : la voici !
Quelques chiffres comme toujours pour la route (et pour que, au besoin, nous soyons tous bien certains que je ne suis pas qu’un vieux fou qui a perdu dix ans de sa vie à ne rien faire). Nous en sommes à 2.432 pages, 587.017 mots, 3.411.759 caractères : 17 fois Fatale (Manchette), 4,5 fois la Bête humaine (Zola), et, ça y est !, Guerre et Paix est nettement dépassé.
Reste à aborder à présent la suite de nos aventures (au roman et à moi) : la parution du tome II et la fin de l’écriture (la suite et fin du polar qui clôt définitivement l’ouvrage). Vous allez voir, les deux devraient, j’espère, être liées (c’est un conditionnel, je ne promets rien, vous l’aurez noté).
J’avais espéré dans la précédente Bulle, puis annoncé en début d’année sans doute imprudemment, que vous pourriez dévorer le tome II (le, disons…, roman d’amour) sur la plage. Eh bien ! (Tintintin…) (Suspens…) Oui ! Ce sera possible ! À la condition toutefois de porter un bonnet, un blouson de ski et des moufles. La sortie escomptée avant l’été n’aura lieu que le… 13 novembre 2020 – date officielle (sauf retard toujours probable, oups !, je voulais écrire toujours possible, bien sûr) ! Les plus sagaces d’entre vous auront noté, petit un, qu’il s’agit d’un vendredi 13 – ça va lui porter chance, à ce tome II ! –, et, petit deux, qu’il s’agit de la date de naissance de Lawrence. Parution officielle du tome I, date de naissance d’Alice, parution officielle du tome II, date de naissance de Lawrence : avouez que, a fortiori pour la partie "roman d’amour", on ne pouvait pas faire plus classe… (Idéalement, mais là, je sais d’avance que le délai ne sera jamais tenu, il faudrait un tome III le 13 avril 2021, date d’anniversaire de la loi Marthe-Richard et du premier jour de la vie d’escorte de notre héroïne (et, accessoirement, de celle de l’auteur du roman…) et un tome IV le 16 décembre 2021, de nouveau le jour de la naissance d’Alice, histoire de boucler la boucle – voilà pour la prospective (très hypothétique, je vous l’accorde…).)
J’ai donc, pour ceux qui suivent (mais j’ai cru comprendre que cela devenait compliqué pour beaucoup d’entre vous), repoussé de cinq mois la sortie du tome II. Il y a plusieurs raisons à cela (je vais essayer de faire court, c’est la dernière qui est vraiment intéressante). J’ai réécrit intégralement Shéhérazade (elle avait tant évolué entre le début et la fin de l’écriture que la première version sonnait faux, comme si elle s’était mise à parler presque français – quelle faute de goût !). J’ai passé (perdu ?) beaucoup de temps à m’informer, à réfléchir et à tweeter sur l’épidémie de peste qui a décimé le monde entier et la France (d’après, du moins, ce que j’en ai compris en me basant sur le traitement qu’en ont fait les médias, ou sur les mesures et les annonces du gouvernement), et je me suis même demandé un peu sérieusement si je n’allais pas sortir à la va-vite un pamphlet sur le sujet façon "Je ne suis pas Charlie" (ce sera finalement uniquement un court texte drolatique : voir colonne de droite). Et puis, là-dessus, les trois projets décrits dans – toujours elle – la colonne de droite (plus quelques obligations judiciaires chronophages qui s’annoncent pendant quinze jours d’ici peu – ne me demandez pas quoi, vous seriez déçus) ont achevé de me mettre en retard pour une sortie avant l’été.
Sachant que, pendant les vacances, commercialement (vous pouvez ajouter des guillemets si vous êtes prudes), sortir un livre est une très mauvaise idée, ça nous emmenait début septembre. Et c’est là que je me suis dit que, quitte à repousser la date de parution, ça pourrait être une excellente idée de me remettre à l’écriture pendant les deux mois d’été, sous le soleil et sous mon pommier – je vous jure que ce n’est pas loin du bonheur, ça, d’écrire à la campagne, dehors, lorsque le temps le permet –, afin de tenter d’achever définitivement le roman, en l’espèce la partie III, la dernière partie, très brève j’espère, façon polar en quatrième vitesse, histoire de confirmer au lecteur – ou pas, on a dit… – qu’il a bien trouvé tout seul le nom de l’assassin.
Je ne promets rien (ça aussi, on a dit : je le re-précise, au besoin, à destination des cauteleux qui récrimineront le cas échéant). Je me connais assez pour savoir que boucler un cycle d’écriture en rien que deux mois, c’est loin d’être gagné d’avance et qu’il y a des chances non négligeables pour que, début septembre, je me retrouve coincé entre Charybde et Scylla : terminer la partie III bien lancée en repoussant une fois encore la sortie du tome II, ou reporter à plus tard la fin de l’écriture du roman. On verra bien. Mais j’ai envie de tenter le coup – appelons ça l’appel du pommier.
Rendez-vous donc à l’automne, j’en saurai forcément plus et je donnerai des nouvelles. Le pire n’étant jamais certain, ce sera peut-être pour vous annoncer que l’écriture du bouquin est achevée et que la date du vendredi 13 novembre n’est pas (exagérément) repoussée.
À bientôt pour de nouvelles aventures,
Champagne !
L’IndispensablE
PS : Il y a d’ores et déjà cinq belles chroniques du tome I sur Sens critique. Et d’un, vous pouvez aller faire un tour sur la page consacrée du site pour les lire. Et de deux, mieux encore, vous pouvez poster à votre tour des dithyrambes, ou, à défaut, attribuer au roman une note mirifique (11/10 est impossible – c’est dommage).
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Masque Covid Crevez tous!
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Le collector IndispensablE (pour se faire insulter) dans les transports en commun ou au bureau de vote. Masque de protection textile réutilisable qualité tip de chez top (homologué, lavable +50 fois, filtration ffp2, etc.). !QUANTITÉ LIMITÉE! 13€ (+port).
Tout est parti d’un tweet (daté du 1er mai) sans aucune, mais vraiment aucune arrière pensée, je le jure. Rien de plus qu’une énième provo drolatique du prince du Bon Goût : "Je viens d'avoir une idée marketing trop géniale ! Des masques en tissu lavables imprimés "Crevez tous" ! Non ?…" Là-dessus, des centaines de milliers d’entre vous (un peu moins, peut-être ?) ont liké à tout va, et je me suis demandé dans quelle mesure cela ne voulait pas dire, au moins en partie : Chiche ?, fais-péter le masque, Vaquette, on t’en commande chacun un camion de 800.000 (idem) !
Je suis réductible au concours de bites (chapitre 25 de JGTàlF), rien de nouveau, aussi je me suis pris au jeu. Comme un con. Je vous passe les étapes intermédiaires (graphisme pourri, essais sur des masques en coton artisanaux, transfert au fer à repasser sur ma table de salle à manger, sondage et débats interminables sur le graphisme du modèle) (vous pouvez éplucher mon fil Twitter si ça vous intéresse), et j’ai fini par trouver une entreprise susceptible de me les imprimer et me les fabriquer avec – cerise sur le gâteau et chloroquine sur le SARS-CoV-2 – une qualité homologuée quasi-médicale : je vous laisse vérifier les caractéristiques techniques – ainsi que le graphisme (Oh !, c’est beau !) – ici, sur la page dédiée que je vous ai bricolée.
Mais ATTENTION ! Juré !, c’est pas une menterie de bâtard de commercial : les quantités sont LIMITÉES et il n'y aura pas (sauf miracle (des sous) (peu probable)) de réassort. Les envois se feront donc dans la limite du stock disponible et dans l’ordre des pré-commandes. Vous êtes prévenus…
Les commandes partiront dès réception des masques, a priori début juin (sauf si les enfants sri-lankais qui les fabriquent meurent asphyxiés du fait de la toxicité du colorant rouge).
J’ajoute que les frais de port sont fixes : c'est la bonne occasion d'en profiter pour commander en même temps livres, CD, tee-shirts (l'été arrive)... – non ? (Et puis, ça aidera à payer l'imprimeur pour le tome II de Du champagne, un cadavre et des putes (Vous êtes merveilleux (je ne l’avais pas encore radoté dans cette Encyclique)...)) (Eh ma cousine!, je t'ai même fait une giga promo touche la qualité avec le tee-shirt Crevez tous modèle fille moulant col en V trop la classe (sur ma vie, la vérité si je mens !) à 7€ au lieu de 13 (profite, c'est cadeau !)).
Je n’ai pas besoin, je pense, de vous rappeler l’adresse de la page Vaquette Par Correspondance (il suffit de cliquer sur ces lignes) pour que vous vous précipitiez afin de vous procurer ce collector bientôt épuisé (je vous jure que c’est pas une connerie : on en a commandé très peu exprès pour être certains de n’avoir aucun invendu !). Sinon (faites-moi confiance…), vous allez le regretter (le masque étant obligatoire pour les prochaines municipales, franchement, vous vous imaginez aller voter sans ?!)…
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Sauver des vies!
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Une pochade dystopique, drolatique et de bon goût dans la revue papier "Le monde est en ruines" (avec Costes, Romain Ternaux, Raphaël Zacharie de Izarra, Christophe Siébert, Quentin Rouchet, etc.). À paraître prochainement.
Comme je vous le raconte très brièvement dans la colonne de gauche, j’ai – comme la plupart d’entre nous, j’imagine – pas mal réfléchi au Covid et à son traitement politique et médiatique disproportionné qui… confine à la mystification. J’ai à un moment même envisagé d’écrire un petit bouquin sur le sujet histoire de mettre en ordre ma pensée et de proposer quelques idées qu’on n’entend pas tous les jours ailleurs.
Et puis, là-dessus, la revue Le monde est en ruines m’a offert une somme qu’il n’est pas faux de qualifier d’indécente pour écrire un texte sur le sujet. Motivé par l’appât du gain, mon cerveau fertile s’est alors mis en branle et, un quart d’heure plus tard, pas plus, je tenais mon idée que j’ai posée sur le papier (enfin…, l’écran du PC) en quelques heures le lendemain.
Ça s’appelle Sauver des vies !, et c’est un genre de pochade dystopique, drolatique et de bon goût de six pages qui se lit vite et bien. Pour être parfaitement franc avec vous : j’en suis content !
Alors bien sûr, les intégristes du vaquettisme pur et dur (je vous connais…) vont me reprocher que…, oui…, non…, tout ça…, c’est pas assez profond/puissant/conceptuel/génial/etc. – sans compter que, imaginez !, ça fait moins de 2.500 pages ! Et, effectivement, peut-être que si j’avais écrit un livre entier façon Je ne suis pas Charlie, ça aurait été plus intéressant. Mais c’est sans fin. Moi qui connais la deuxième moitié (la partie "essai") de Du champagne, un cadavre et des putes, je peux vous assurer que sa profondeur est mille fois plus imposante que celle de mon Je ne suis pas Charlie. Et c’est d’une logique bien évidente : j’ai mis dix ans à écrire l’un avec tout le recul et le travail de recherche et de réflexion nécessaire, et moins d’une semaine à l’arrache pour le second ! Sans compter que, vous en pensez bien ce que vous voulez, mais, moi, je suis intimement convaincu que la première richesse de Vaquette est d’être celui capable de nous écrire un morceau de hip-hop (?) conceptuel de 35 minutes ou un roman policier/social/d’amour de 2.500 pages qui se termine par un genre d’essai/monographie/pamphlet de 1.000 pages, et, dans le même temps, de vous balancer des pochades improbables durant lesquelles il sort sa bite ou sa bonbonne de gaz. C’est sans doute très prétentieux à dire, mais ce n’est pas si souvent dans l’histoire (on pense à Boris Vian immédiatement, mais ils ne sont pas nombreux) qu’on trouve dans le même homme, entre autres, Paola Tabet et Gogol Ier – ou non !, pardon !, ce n’est pas assez, vous avez raison ! –, Victor Hugo, Simone de Beauvoir, HPG, Bernanos et le professeur Choron – ne vous plaignez pas d’un aussi improbable mélange…
Sans compter que, réhabiliter l’esprit du professeur Choron (pour citer Svinkels et revenir au glorieux professeur) afin de faire le procès, au fond, d’une société qui "est passée de Charlie Hebdo à Charlie Hebdo" (pour citer Vaquette et revenir plus précisément à mon texte), il me semble qu’il y a pire comme faute de goût. Et même, je vais vous dire, en regard de la mascarade (avec ou sans jeu de mots…) qu’est le traitement politique et médiatique du Covid, je me dis – très sérieusement – que la pochade est encore le meilleur moyen d’en parler, de la même façon que, sur l’occupation israélienne en Cisjordanie ou la guerre en Yougoslavie, j’avais écrit, à l’époque, des chansons drolatiques de bon goût. Parce que, sinon, quoi ? Un texte trop sérieux façon BHL – avec douze fois le mot barbarie à chaque page – pour dénoncer les méchants militaires qui tuent et torturent des gens ? Bouais…, pas sûr que ça aurait été plus fort que les deux chansons en question.
Alors voilà, je suis content de ce texte parce qu’il est très drôle, qu’il choquera(it), j’imagine, le "grand public", et que, malgré tout, il dit l’essentiel de ce que je tenais à asséner sur le sujet : la dérive martiale de la société et le contrôle social qui en naît, et ce, puisque mon texte flingue tous azimuts – c’est d’ailleurs peut-être sa principale qualité qui fera grincer certain-E-s dent-E-s –, de la part d’un liberticide "de droite" qui travaille à l’avènement du mal (les méchants flics avec leur gros tonfa) tout autant que, d’un autre, "de gauche" (les gentils militants avec leur gros code pénal), qui œuvre pour le bien – et pour… sauver des vies !
J’ajoute, pour conclure et achever de vous convaincre, que Costes et Vaquette réunis dans la même revue papier, voilà un autre collector (après le masque Crevez tous) que vous serez fiers de léguer à vos petits-enfants et qu’il serait folie d’oublier de commander !
La revue paraîtra prochainement. Toutes les infos (à suivre) sur la page dédiée. N’hésitez pas à contacter Quentin Rouchet pour être tenu au courant de la date de parution exacte.
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Une histoire de censure sur YouTube
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La série de 22 vidéos "Une histoire de censure" qui n’était disponible que sur DailyMotion est à présent uploadée sur YouTube.
La plupart d’entre vous connaissent et ont déjà visionné, parfois plusieurs fois, Une histoire de censure. Un genre, si on veut, de vidéoblogue (?) de plus de six heures réparties en 22 épisodes. J’y parle de la censure d’après mon expérience personnelle. En particulier, je révèle dans les détails (c’est, je crois, éclairant pour tous les citoyens que la liberté d’expression intéresse), documents à l’appui, les consultations d’avocats au moment de la parution de mon premier roman et de son sulfureux chapitre Mort aux Juifs. J’en profite pour aborder tout un tas d’autres sujets plus ou moins connexes : anarchie, extrême droite, Dieudonné, etc., avant de finir en beauté – avec plus de classe que d’aigreur, il me semble – en évoquant "l’échec (douloureux) de ma carrière"…
Ceux qui ont vu et revu les épisodes sur DailyMotion peuvent diffuser l’info, liker sur YouTube, s’abonner à ma chaîne, etc. Quant aux autres, mettez ça dans vos favoris pour vous occuper au moment du prochain confinement (au début de l’automne, d’après les spécialistes…) – ce sera toujours moins imbécile que les reportages télés, ou les vidéos d’Usul ou de l’un de ses innombrables clones (clowns ?, j’ai un doute sur l’orthographe).
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