Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,

"Je parle pour dans dix siècles et je prends date !" Désespérément je ne suis pas (encore) Léo Ferré (forcément, lui est mort, en France, tout de suite c’est plus prestigieux), je serai donc plus modeste : je parle pour dans quelques années, lorsque je me relirai avec cette fierté qui toujours m’étreint lorsque je croise ce jeune homme que je fus. Alors, il faut que je me rappelle quelle folie m’a habité (plaignez mes proches – je pense à mon chat en particulier, bon d’accord, je n’ai pas de chat – ou simplement les quelques-uns qui m’ont eu au téléphone ces derniers mois, ils ont dû penser qu’un accident de la géométrie spatio-temporelle (non, ce ne sont pas (que) des termes de science-fiction, incultes ! mais de la relativité restreinte élémentaire) avait brutalement (c’est le cas de le dire) accéléré le temps) (Tenez ! comptez les fautes d’orthographe dont je vous ai gratifiées dans ma précédente Encyclique – je n’ose d’ailleurs dénombrer celles présentes sur cette page ! (pour la peine, na ! je ne me corrigerai pas !) – et vous conviendrez avec grâce que je ne fus pas tout à fait moi ces derniers temps !), il faut que je me rappelle quelle quantité de travail j’ai abattue, quelle énergie j’ai investie pour la création de ce premier massacre : je suis MerveilleuX, voilà, c’est dit, pardon, répété (Oui ! oui ! cette Bulle est mégalo, c’est bon signe : je vais bien !), et si la gloire ne sonne pas demain matin à ma porte, le monde est définitivement injuste, qu’on se le dise (Frédéric ! – Vous me permettez de m’adresser un instant en tête à tête à Taddéï ? (Oui, oui, c’est du Name dropping, ça fera plaisir à Cadillac) – puisse ton ironie de mauvais aloi se révéler absolument fausse : non, mon passage lundi dans ton émission ne va pas m’enfermer dans l’underground à jamais, Vaquette mérite mieux que cela ! Tiens d’ailleurs, je t’écoutais tout à l’heure lorsque tu as reçu sur Europe 1 (Tu sais que je suis fan de ton émission) Olivier de Kersauson, "L’honneur, c’est simplement d’investir la totalité de son énergie afin d’être parfait dans ce qu’on tente même si on n’y arrivera peut-être pas exactement." Eh ! Tu sais quoi ? Je suis d’accord avec lui et, c’est un signe assurément, moi aussi je vais parler d’honneur sur ton plateau dans quelques jours – patience !)
Et tenez d’ailleurs, pour cause de planning overbooké au-delà du raisonnable (quel mot affreux, raisonnable, non ?, remarquez, overbooké, c’est pas mal non plus…), je serai exceptionnellement bref, cessant ici cette Encyclique. Je vous donne donc rendez-vous à tous (enfin, j’espère) très bientôt sur scène à Paris (du 25 au 29 novembre), puis à Bordeaux (le 5 décembre) et par la suite (et très probablement) à Clermont-Ferrand, Lille, Marseille, Nîmes, Nancy, Toulouse, puis, de nouveau, du moins je l’espère, en Suisse au printemps (spéciale dédicace et meilleur souvenir à Gaël et Edy, et à tous les autres aussi, Jäggi, Jonas…), etc. et dans toutes les villes, villages, bourgs, hameaux, granges du Livradois, châteaux isolés, rencontres philosophiques dans le Nord où me convieront les hommes et les femmes de bonne volonté (avis, une fois encore, aux lecteurs de cette Encyclique) qui oeuvreront à la gloire du Grand Mythe vaquettien : amène !

À bientôt pour de nouvelles aventures,

Crevez tous,

L’IndispensablE

PS : Le nouveau CD est définitivement magnifique. Pour vous en convaincre, allez faire un tour sur cette page. Franchement, et même si mon opinion peut vous sembler un rien déformée par l’intérêt, je serais vous, je l’achèterais plutôt que de le télécharger… Il est en vente sur la page Vaquette Par Correspondance de Crevez-tous.com et également (entre autre) sur Amazon (mais bon, il est plus cher et je gagne moins d’argent…)