Ami-camarade adorateur du Grand Mythe Vaquettien,
Comme toujours, l’essentiel est dans la colonne de droite de cette Encyclique : vous pouvez – enfin ! – écouter un premier extrait de ma "Conjuration de la peur" sur www.crevez-tous.com. J’ajoute, car Vaquette est gâteux – que voulez-vous ? je vieillis –, que vous pouvez me faire parvenir vos réactions (sur la forme, le fond, le mixage…), j’espère enthousiastes, elles seront reçues avec grâce tant savoir écouter les autres et ne faire confiance qu’à soi est l’une des bases de mon beau métier (génie).
Et le spectacle dans tout cela ? me direz-vous. Eh bien, il avance en parallèle et devrait être en mesure d’illuminer les salles de France et de Navarre, à commencer très probablement par Paris, dès le début octobre.
Conséquemment, il serait temps, ne croyez-vous pas ? de commencer à nous – oui, j’ai dit nous – pencher un rien sérieusement sur la tournée d’automne de l'IndispensablE. Toute proposition (sérieuse bien sûr, vous connaissez Vaquette) susceptible d’aboutir à une date dans ta belle région est donc dès à présent la bienvenue : n’hésite pas à contacter M. et Mme Poignon pour de plus amples informations.
Ah ! Et puis ! Tiens, pendant que nous parlons du spectacle, je cherche des images en haute définition (ou du moins, pas en basse définition comme on en trouve aisément sur le web) de trois types. Petit un. Des pubs emblématiques du "Sois toi, sois libre si tu consommes (la même chose que tout le monde…) !" type le "I am what I am" de Reebok. Petit deux. Des images illustrant la convergence du militaire et du policier (en particulier les armes non létales de "contrôle de foule"). Petit trois, les affiches de propagande de la société de la prudence généralisée : campagnes pour la capote, contre l’alcool ou la vitesse au volant, contre le tabac, etc. ainsi que celles qui, comme "J’aime ma boîte" par exemple, incitent à devenir de "bons citoyens" positifs et respectueux de la norme sociale. Si certains d’entre vous ont accès à de telles images ou veulent partir en reportage pour l'IndispensablE afin de les lui photographier, il vous en remercie chaleureusement par avance, il y a de bonnes chances qu’elles lui soient très utiles (pour son prochain spectacle, donc, je ne vous en dis pas plus).
Well, let’s carry on ! Everybody knows I wanna be Great and Noble. Well, everybody, everybody, c’est vite dit. Everybody surtout en France et dans les quelques derniers pays francophones qui résistent encore et toujours à l’envahisseur grand-breton, parce que, soyons francs, de Juneau à Wellington, de Durban à Lerwick, rares sont ceux qui sont pénétrés profond par la parole du Prince du Bon Goût. Heureusement, cette inconcevable hérésie va être bientôt réparée grâce à Jagix qui, avec l’aide précieuse d’Ozymandias et entre deux combats à mains nues contre des tigres (Ne riez pas ! C’est (presque) vrai, j’ai vu les vidéos, c’est très impressionnant) a traduit le "J’veux être Grand et Beau" de l'IndispensablE en anglais. C’est à découvrir sur la page "Surprises" de vaquette.org.
See you soon pour de nouvelles aventures,
Crevez tous (Ah ! Vivement le 11 septembre !)
L’IndispensablE
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Crevez tous : premier massacre le 11 septembre
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 (Date officielle de sortie du CD, spectacle dans la foulée.) Un premier extrait de "la Conjuration de la peur" est en ligne sur www.crevez-tous.com
Le 11 septembre – ça s’imposait, non ? – 2008 (à 14h46 précise), le CD que chacun attend depuis bientôt cinq ans de la Patagonie jusqu’à Marcq-en-Barœul, oui, le premier opus, mieux, le premier massacre du mythique (mais rassurez-vous, quelques semaines de patience et il vous paraîtra bien réel) "Crevez tous" de l'IndispensablE sera "dans les bacs" ! (Bon d’accord, je l’avoue bien humblement, il sera surtout dans des cartons, chez moi, et conséquemment disponible sur rue-du-vaquette.com.)
Yo ! Rhaaaa ! Trop cool !, t’écris-tu (Car tu as très peu de conversation, avouons-le – Ah ! comme elle doivent âprement me regretter mes anciennes maîtresses lorsqu’elles m’ont remplacé à table par l’un de vous, pire, mais est-ce imaginable ? par un qui n’est pas même adorateur du Grand Mythe Vaquettien : pleurons pour elle) car cette nouvelle emplit ton cœur de joie.
Mai s’est a quoi sa va ressemblé ? (Oui, car en plus, tu fais des fautes de français quand tu parles, c’en est gênant.) Et bien, attention, attention, car la nouvelle est énorme, gigantesque, cataclysmique. Tu es tout ouïe ? Bien, alors, voici : tu peux d’ores et déjà écouter en exclusivité mondiale (oui, oui, même en Patagonie et même à Marcq-en-Barœul) un premier extrait de "la Conjuration de la peur" sur www.crevez-tous.com.
Ceux qui ont suivi à travers mes précédentes Encycliques le work in progress des travaux d’Hercule que constitue mon "Crevez tous" savent que ce premier massacre est composé d’une très courte introduction de deux minutes, "Crève Vaquette" (je n’y reviens pas, elle est en ligne depuis un moment déjà et c’est à peine si je l’ai retouchée à la marge depuis), en quelque sorte l’annonce du départ d’Hercule de Tirynthe, et d’un deuxième morceau incomparablement plus consistant, disons une lutte à mort contre le lion de Némée – nous verrons si l'IndispensablE survivra aux écuries d’Augias qu’est le monde merveilleux de la culture française pour vous livrer à terme un douzième massacre (Sortie prévisionnelle, le 1er avril 2095.)
Cette "Conjuration de la peur" (le morceau en question, donc, l’âme de ce premier opus), d’une durée de 35 minutes, tente d’analyser comment, en quarante ans, on est passé d’une société où les maîtres mots étaient liberté et imagination, à un temps, le notre, remarquablement sclérosé et sécuritaire. Ce premier extrait (il y en aura d’autres avant la fin de l’été) de quatre minutes que tu vas avoir la joie, le bonheur, la félicité même de découvrir à l’instant – c’est un ordre – est tiré de la toute première partie du morceau, à cinq minutes du début pour être précis, juste après un solo de Team Laser qui conclut un état des lieux de notre époque dont une des clefs pourrait être cette phrase de Nicolas Sarkozy volée à Gramsci : "L'hégémonie idéologique et culturelle précède la victoire politique", avant de laisser place à l’analyse du "retour des réacs" et du contrôle social par la peur (la suite du morceau posant les problématiques sous-jacentes au conflit liberté/sécurité avant de conclure par de la prospective comme tout normalien qui se respecte – voilà dans les grandes lignes le plan de la "chanson"). Entre les deux, l’extrait en question est, disons, une critique, ou un bilan, je vous laisse choisir, de mai 68 – oui, je sais, Vaquette est terriblement tendance, limite opportuniste.
Le MP3 est ici. Le texte (de l’extrait) est là. N’hésitez pas à réagir même si un court passage de quatre minutes ne permet pas de prendre la mesure du morceau dans son intégralité, sa continuité, sa diversité et toute son ampleur – vive l’ampleur !
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Vaquette sur France 3
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 Le triomphe de l'IndispensablE dans l’émission de Frédéric Taddéï "Ce soir (ou jamais !)" du 1er avril 2008 est en ligne
Oui ! Car ce fut de l’avis général un triomphe, disons-le, en témoignent d’ailleurs les nombreux commentaires enthousiastes trouvés ça et là sur les forums du web. C'est bien simple, à l'exception d'un site d'extrême droite (Français de souche – si ! ça existe !) qui me conseille fermement de quitter la France puisque je ne l'aime pas, ton IdolE a été la star de la soirée.
Les connexions sur mon site ont explosé (c’est rien de le dire), on m’arrête désormais dans la rue pour me parler (Ouais, yo ! j’tai vu à la télé, man ! et franchement, c’que t’as dit sur la religion du prophète, franchement, tranquille : respect !) et j’ai été enseveli sous pléthore de mails (une mention spéciale à ce grand moment de poésie urbaine : "Je t’ai zieuté laute soir at the télé de merde chez le ridji de mes couilles, pas mal le man !" – je vous jure que c’est authentique). Tenez, c’est bien simple, j’ai été semble-t-il, ne riez pas, ce sont les termes exacts d’un des nombreux mails (donc) que j’ai reçus, le gendre idéal, et puis, allez ! je vous confie tout, ce mail n’est rien, on a même été jusqu’à m’écrire : "Quel effet ça fait de savoir que dans dix ans, à cause de son talent, on deviendra aussi populaire et médiatisé que Philippe Katerine ?" – classieux, non ?
Euh… Vous avez raison, j’irai plus jamais à la télé… (Même pas vrai ! puisqu’il semblerait que je sois appelé à réapparaître régulièrement dès la rentrée prochaine dans l’émission de Frédéric (Oui ! À présent que j’ai pénétré profond le Monde merveilleux de la lucarne magique, j’appelle Taddéï, Frédéric – sois un ange, veux-tu ? comprends que nous ne sommes plus du même monde) : pleurez détracteurs cauteleux, vous n’êtes pas encore débarrassés de l'IndispensablE.)
Pour retrouver l’intégralité de l’émission, clique sur cette page qu’a réalisée avec brio (et ses petits doigts) Tim Tubulamarok – merci (et encore bravo) à lui.
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