Merci à Philippe Matsas, deux fois.
Une première fois pour l’envoi des photos
et leur droit d’utilisation bien sûr. Une seconde fois surtout
pour la qualité du travail, parce qu’il ne suffit pas d’appuyer
sur le déclencheur d’un appareil pour être un photographe.
En cela comme en tout : "Tout ne se vaut pas, ce n’est pas
vrai."
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